mercredi 22 juin 2011

projet autonome


Le déménagement est un grand pas pour certaines personnes. Il pourrait être de passer, en s'éloignant ou simplement s'évader. Dans ces cas, la migration à travers le Canada était à s'échapper. Soit leur passé, présent ou futur. Les thèmes de la migration à travers le Canada, l'amour, l'isolement et la solitude. Ces thèmes seront développés à travers l'établissement et des personnages.
Dans Les Filles de Caleb, nous voyons l'amour plus que tout. Nous découvrons avec Emilie son amour grandir, mais seulement son amour de l'enseignement, mais son amour pour Oliva. Elle a quitté son poste d'enseignant à l'école, l'enseignement des enfants de tous âges différents. Un élève en particulier, a attiré son attention, Oliva. Ils sont l'amour était plus fort et plus fort jusqu'à ce qu'il soit trop vieux pour l'école. Il a continué à venir par l'école de la voir jusqu'à ce qu'elle a finalement quitté afin qu'ils puissent être ensemble. Ils ont finalement été ensemble. Ensemble, seul. Seul jusqu'à Emilie a commencé à croître un ventre de la sienne. Elle avait un enfant sur le chemin. L'amour entre Oliva et Emilie ne s’est renforcé. Ensemble, ils ont grandi une famille ensemble. Ils étaient tellement en amour, ils croyaient rien ne pourrait les amener à part. Après la naissance de leur premier enfant que quand les choses se sont gâtées. Le couple a commencé à expérimenter la vie sans argent. Oliva est aller chercher des nations unies emploi, mais cet emploi était un emploi qui signifiait qu'il était loin de la maison un lot. Il revient une fois de temps en temps pour dire bonjour et de rester pour quelques jours. Chaque fois Oliva est venu visiter Mais Emilie deviendrait enceinte. Ce résultat dans un autre bébé, un autre enfant qu'ils ne peuvent pas se permettre. Bien que nous voyons que rien ne peut s'interposer entre nous. Nous découvrons le thème de l'amour à travers les personnages, nous faisons l'expérience ce qu'ils traversent sur une toute nouvelle perspective.

La migration dans ce roman apparaît vers la fin du roman. Nous voyons l'amour entre Emilie et la dérive en dehors Oliva. Emilie ne peut pas le prendre plus, elle devient folle après la mort d'un de ses enfants. Elle reproche à la mort sur la Oliva et les feuilles. Elle prend ce qu'elle peut avec elle et lui laisse derrière lui. Elle déménage à Montréal.
Dans le livre Aller Retour, les thèmes les plus commun est celle de l'isolement et de la solitaire. Sur l'isolement voit quand Martin vit vanter la dans seul l'école. Il se sent toujours seul dans l'école, isolé de l'ensemble de la société autour de lui. Il a de la compagnie du concierge une fois par jour, mais sans le concierge en sachant que Martin est à l'école. Le concierge jamais rien remarqué d'étrange à l'école, jusqu'à ce qu'il entende l'écorce d'un chien. Cette surprise du concierge au point d'une crise cardiaque. Le concierge croyait qu'il était seul dans l'école. Martin, a été victime de violence à la maison, son oncle boire et revenir à la maison et l'ont battu. Martin ne voulait pas faire face à tout cela. Il s'est échappé de sa maison oncles dans Trios Rivière d'aller rejoindre sa tante à Montréal. Une fois là sa tante a été surpris de le voir. Martin lui a demandé s'il pouvait vivre avec elle, elle vivait seule dans son appartement, où Martin espérait qu'il pourrait se joindre à elle. sa tante lui a dit qu'il ne pouvait pas vivre avec elle à cause de son oncle et à cause de son travail. Son travail l'oblige à voyager beaucoup, ce qui ne laisserait pas assez de temps pour prendre soin de Martin. Martin ne pas vouloir revenir à son oncle a trouvé refuge dans une école abandonnée. Il a cherché et trouvé un emploi dans une épicerie. Fournir l'épicerie et le nettoyage du magasin. Martin est devenu très proche avec ses employeurs, ils l'ont traité comme un fils. Martin ne s'était jamais senti plus à l'aise. Ensemble, ils ont attendu pour le micro. En fin, Martin est prêt a pardonner sont oncle mais il ne peut pas retourner vivre avec lui. Il obtient de vivre 5 jours pendant la semaine avec les employeurs du magasin et il resta avec sa tante le week-end.
Critique Interne
Les problèmes que l’auteur a présentés sont très bien écrits et très claire. Ont retrouve une séries de problèmes chez Les Filles de Caleb, qui se suit a travail du livre. Ils entrent dans plusieurs situation où qu'ils ne peuvent tout simplement pas sortir de. Oliva revient à la maison plusieurs fois après une longue nuit au bar, tous battues, mais agissant comme si tout allait bien. Il serait venu hier à la maison après bu la nuit, et ensuite se plaindre qu'il ne peut pas trouver un emploi. Tous ces problèmes sont bien développées et présentées aux lecteurs. Les idées sont données subjectives, donc en impression personnelles. Il démontre une qualité dans l’écriture qui montre des liens logiques entre les problèmes et les solutions. Les solutions auteurs aux premières ont été pour le couple de parler les uns aux autres. Ils avaient pour communiquer leurs problèmes entre eux. Cependant, cela n'a pas fonctionné, l'auteur a eu un membre de la famille meurent dans l'espoir d'amener la famille proche ensembles, mais cela a créé l'effet inverse. En fin de compte la seule solution était de quitter pour Emilie. Elle a quitté en prenant toutes ses choses avec elle pour aller vivre avec son amie à Montréal. Dans le Retour Aller livre, les problèmes sont un peu plus clairs. Il est plus facile de voir ce que le personnage principal est aux prises avec. Il a été maltraité à la maison, un endroit où chacun doit se sentir en sécurité. Lui, d'autre part a été un lieu de la peur. Il craignait la maison, où son oncle viendrait ivre à la maison et l'ont battu. Il voulait se sentir en sécurité, laissant ainsi était la seule option claire pour lui. Il a quitté Trois-Rivières pour aller voir sa tante à Montréal. Sa réaction était inattendue, elle ne croyait pas Martin, elle a refusé de croire que son oncle serait faire une telle chose. Elle essaie de lui faire retourner à la maison, seulement pour lui de s'échapper. Il lui laisse à la gare que de trouver refuge dans une école abandonnée vieux. Il a transformé un entrepôt dans une petite chambre pour lui-même. Les problèmes dans cette histoire est qu'il n'est qu'un enfant et il vit dans une grande ville à lui tout seul. Réalisant qu'il ne marche pas avoir beaucoup d'argent pour lui de survivre, il sort à la recherche d'un emploi. Il en trouva un dans un magasin Epicerie locale, aidant à fournir l'épicerie et le nettoyage du magasin. La solution à chaque problème Martin ha semblait logique à la fois, jusqu'à ce qu'il ait été trouvé par le concierge de l'école. À la vue de Martin le concierge a eu une crise cardiaque, entraînant ainsi dans l'ambulance et la police arrivée sur les lieux pour traiter la victime et pour savoir pourquoi les gens étaient dans l'école, en premier lieu. Il rentre chez lui, après avoir été interrogés à plusieurs reprises par la police. Il a été amené à domicile, où ils nous le disions d'une solution au problème à résoudre. Ils ont trouvé que ce serait mieux si il a vécu l'esprit des propriétaires de l'épicerie. Ils l'aimaient beaucoup, comme leur propre soleil, et n'avait pas d'exceptions pour lesquelles Martin ne devrait pas rester avec eux. Le week-end Mais Martin va passer ceux avec sa tante. Elle parcourt la majorité de la semaine en raison de son travail, mais le week-end son de leur temps ensemble.
Critique Externe
Les deux livres ont beaucoup de similitudes, les problèmes que les deux histoires sont différentes, mais face à leur façon de traiter avec eux sont les mêmes. Ils courent d'eux. Ils courent à partir de leurs problèmes, et essayer de les laisser tous derrière eux. Ils ne se rendent compte qu'ils seront toujours juste un pas derrière eux. Finalement rattraper avec vous. Les deux histoires ont une trace de sévices, les deux sont perdues dans le monde et ne savent pas où aller. Qu'est-ce qu'ils avaient auparavant, ce qu'ils ont toujours connus ont été pris d'eux et ils ont été jetés dans le monde avec rien. Les deux personnages sont très forts mais, ils trouvent la force d'avancer, de survivre par leurs propres moyens. Pour laisser aller de leur passé et de recommencer une nouvelle personne. Quelqu'un qui a mûri une grande sur tous les traumatismes qu'ils ont vécus. Aller Retour d'une manière me rappelle de Harry Potter, Harry Potter était un adolescent, les parents qui ont décédé quand il avait seulement un an et il a été forcé de vivre avec sa tante et son oncle. Sa tante et son oncle le traiter d'une manière qui n'est pas même un chien serait accepter. Il a été contraint de dormir dans un placard et manger ce que jamais il a été donné, ce qui n'était pas beaucoup. Il a vécu une vie terrible au début, mais ensuite les choses ont commencé à changer pour lui. Il a commencé à faire des choses pour lui même qui a transformé sa vie pour le mieux, tout comme Martin.
Jugement d’ensemble
Les deux livres avaient de bonnes choses et de mauvaises choses au sujet du livre. Les Filles de Caleb, avait un concept vraiment génial mais ils traîné trop longtemps. Ils auraient pu faire le livre plus court et plus intéressant. Ce n'était pas vraiment un livre qui attrapait mon attention immédiatement. Il a fallu un temps très long pour moi d'y entrer. Bien qu'il possède de bonnes qualités aussi. Il avait un avantage très féministe à elle. Il a le pouvoir de la femme qui a lu le livre. Après avoir obtenu un certain point dans le roman qu'il attrape vraiment votre attention et vous donne envie de garder la lecture. Vous voulez savoir ce qui arrive à la fin.
Dans Aller Retour, je trouve que le livre était trop court, il a eu l'effet inverse sur moi, puis Les Filles de Caleb. C'était un livre très intéressant qui a attiré mon attention immédiatement. Il m'a gardé la lecture non-stop à travers tout le roman. La ligne d'histoire dans le lis nove celui que vous pouvez rapporter à un peu plus de Les Filles de Caleb. Tout le monde à un certain moment dans leur vie a voulu fuir quelque chose. A voulu être sur leurs propres pendant un moment, trouver leur indépendance. Mais tous dans le même temps d'être aimé et soigné comme il le fut. Les gens pris soin de lui, même quand il n'était pas avec eux, ils ont aidé à survivre par lui-même sans y être réellement.
En conclusion, les deux livres ont plusieurs similarités, mais ont encore des différences. Sont comparable, mais ils ont beaucoup en commun. Les deux thèmes des livres d'actions et peut à la fois m'a mis au point grâce à la création et de caractères. Les histoires partagent une histoire similaire, qui peut être également très différentes.

mercredi 13 avril 2011

«Horla»


Le «Horla» est un texte écrit en 1887, par Guy de Maupassant. Il est écrit sous forme de journal personnel. Le thème principal du texte est celui du mystère de l'invisible. On trouve le thème surtout quand le narrateur explique ce qui se passe dans sa vie. Il décrit souvent qu'il y a un mystère qui le suis partout. Nous voyons que l'histoire progresse, qu'il devient fou et fou. Cet inconnu qui le suit lui conduit finalement au suicide. Nous découvrons les différents événements de l'histoire qui nous amènent à croire qu'il est enfaîte fou.

Au début, le narrateur parle beaucoup au sujet de ce mystère qui le suit partout où il va. Peu importe ce qu'il fait il ne peut tout simplement pas se débarrasser de lui. Il explique sa situation à un couple de médecins et personne ne semble savoir ce qui est mal avec lui. Il a quitté son domicile pendant un certain temps de partir en vacances. Pendant ce temps il n'a pas écrit dans son journal personnel. Mais commence immédiat quand il reviendra. Il dit que pendant qu'il était absent ce mystère l'a laissé seul, ne le gênait pas en vacances. Quand il revint tout comme le mystère. à la fin il ne pouvait plus vivre de la manière qu'il a fait et s'est suicidé. 

Dans l'histoire, il rencontre un aveugle qui lui explique que les meilleures choses dans la vie sont les choses que vous ne pouvez pas voir. Par exemple le vent, sa plus forte que tout naturel dans le monde. Elle peut détruire une ville entière, et pourtant vous ne pouvez pas le voir. Il commence à réaliser que plus tard, plus il pose des questions plus profondes, il arrive à l'inconnu. Il pensait que les cauchemars s'en irait tout est parti en vacances, mais revenir les rendait plus vive. Les cauchemars devenaient partie de sa vie maintenant et il n'en voulait pas trop. Il ne pouvait plus le prendre et il a fini sa vie.

Pour conclure, l'inconnu a été un thème énorme dans l'histoire. Il a commencé comme un mec normal qui laisse son imagination fonctionner librement. Son imagination a assuré sa vie. Il a été hanté avec découvrir l'inconnu, et les mystères du monde qu'il a conduit lui-même au suicide.

lundi 28 mars 2011

Texte Descriptive


Le courage de le refaire 
Je me tiens sur le bord en regardant vers le bas. Je n'ai jamais été si haute. C'est un long chemin épeurant vers le bas. Mes paumes sont humectées, pleines de sueur. Je ne veux pas sauter mais il est trop tard pour redescendre. Mes amis observent avec affections tous mes minuscules mouvements, dans cette tremblote qui rend mes gestes mécaniques. Ils se demandent si je vais parvenir à le faire, courage! Ils voudraient que j’y aille. Je le devine à la façon dont –ils me regardent avec invitation de la main vers eux. Est-ce que je veux vraiment sauter?  Ils ont tous déjà sautés. Ils attendent avec impatience que je mime leurs gestes, que j’endosse leurs courages comme une veste chaude dans un hiver sibérien. Je peux les entendre dire vas-y dans un écho qui raisonne dans mes os. Non n’y va pas me dit une partie de mon cerveau. Vas-y tu es capable me dit l’écho de la voie de mes amis. J’ai peur, très peur. D’en bas, cela ne me semblait pas si haut. Je continue à me dire de ne pas regardez en bas. Cependant, je le fais quand même et le terrain de mon atterrissage m’apparait parsemer de pierres tranchantes. Je ne sais pas pourquoi, mais je vois déjà mon corps en milles morceaux. Je me touche pour m’assurer que je suis entière. Mais qu’est-ce que je fais ici demande-je d’un aire interloqué!
Est-ce que je devrais sauter les pieds en premier ou tout simplement aller les mains  en avant comme pour protéger ma tête? Je ne connais pas la profondeur de la chose qui va accueillir ma chute. Est-ce que je vais brusquement frapper le fond? Je tais mes angoisses. Je prends un grand souffle. Je me sens en confiance. Oh! Peut-être pas. Mais comme pousser par je ne sais quelle force,  Je saute. Je me lance en me repliant comme une boule prête à fracasser l'eau. Je tombe. J’ai l’impression que c’est une éternité avant que j’atteigne l'eau. J’ai le temps de voir défiler milles images dans ma tête. Au moment où j’atteins  la cible, avec une force incroyable, j’ai l’impression que le temps s’est arrêté. La voix de mes amis dans des cris ahurissants me parvient avec une faiblesse qui fait de leur voix un lointain écho comme dans un souvenir oublier. Je sens mon corps qui continue à glisser, lentement, surement, délicatement, vers le bas.  Mon regarde vers le haut comme pour implorer le seigneur aperçoit  la lumière. Elle est comme un appel vers la vie, la joie de vivre. Je prends conscience qu’il faut que je vive. Je ne suis pas morte. Je donne un coup de pied qui me semble superpuissant pour être capable de me ramener vers la surface de l’eau. Il me semble que plus le  coup de pied est fort, moins  je me déplace. Je commence à manquer d'air. J'ai encore besoin de souffle. La pression d'être si profondément engloutie dans cette matière liquide commence à m’écraser.  J'ai besoin d'aide. J'ai besoin de quelque chose qui flotte pour me retenir à la surface. Il n'y a rien de près. Je ne sais pas quoi faire. Je commence à paniquer. Je sens mon cœur battre très fort et rapidement.  Je sais que je peux me rendre jusqu'à la surface de l’eau, mais comment ? Je commence à agiter mes bras dans tous les sens. Mon corps se déplace vers ma survie. Je suis près. Je peux voir la surface. Je peux la sentir. Je suis à la surface. J’ai réussi! J’avais besoin de souffle. Je respire profondément l'aire fraiche. Je nage jusqu’au bord fièrement. Je vois mes amis qui me regardent avec émerveillement, leurs yeux pétillent comme dans un discours qui dit «tu vois, tu es capable». Je donne un coup de pied puissant pour que je me rendre aussi rapidement qu’il l’est possible, jusqu’à l’autre côté de la piscine. Je savais déjà que je n'étais pas une bonne nageuse et je ne sais pas pourquoi j'ai sauté. Je sors de la piscine en respirant fortement. Je regarde mes amis dans les yeux avec une fierté à peine dissimulée. J’ai un grand sourire de fierté sur mon visage. J’ai eu peur mais le saut était incroyable! Je décide de le refaire sans hésitation. 

Danielle Montpetit

dimanche 27 février 2011

texte argumentatif

Pour plusieurs citoyens, la loi du tabac au Canada semble drastique puisque plusieurs canadiens n’ont pas eu le temps de s’adapter à la loi. Pour améliorer les répercussions, le gouvernement aurait pu appliquer la loi de manière graduelle pour donner la chance aux citoyens canadiens de s’habituer aux changements dans la société. Cette mise en application de la loi contre l’usage du tabac dans les lieux publics est-elle absurde? Je crois que oui puisque le gouvernement aurait établir une réglementation graduelle qui aurait créée moins de controverse.
La loi sur le tabagisme a été établie en 2006 au Canada. Cette loi a causée beaucoup de confusion et de révolte. La majorité des fumeurs ont eu une grande difficulté à s'adapter à cette nouvelle contrainte sociale.  Au fil des années, les répercussions de cette contrainte sociale est devenue de plus en plus sévère. Par exemple: les fumeurs n’ont plus le droit de fumer dans les lieux publics tels que les restaurants, les bars, les casinos, les arénas, les lieux de travail ou les centres commerciaux. En 2008, ils ont indiqués que la loi des magasins et des autres lieux ont dû se cacher le visage du tabac. En 2009, le gouvernement a interdit le fumage dans les véhicules s'il y avait une personne de seize ans ou moins abord du véhicule. Ils ont constatés qu'il était injuste que tout cela leur ait été enlevé tout en même temps. Personne n'a jamais pris la parole et a dit qu'il était mauvais pour vous jusqu'à ce que tout le monde fût accro.
Le gouvernement aurait pu être un peu plus intelligent à ce sujet et ne pas faire paraître si drastique. Il aurait pu atténuer les gens dans la loi. En effet le gouvernement aurait pu enlever quelque chose à un moment comme par exemple les lieux publics et lentement le lieu de travail, ainsi avec les voitures. D'une certaine façon, ils le font comme ça parce qu'ils n'ont pas interdit de fumer dans les véhicules jusqu'à trois ans plus tard.
Alors pour répondre à la question, il est injuste d’enlever le droit d’avoir du tabac dans les endroits publics. Mais la majorité de la population ne fume pas et ils ne le trouvent pas agréable quand ceux qui sont autour d'eux.